info ou intox?
+10
Il grande LHC
TORO
Assurancetourix
14
El Kicker
1919
Nathanovitch
jester81
Le Rat
le primate
14 participants
Page 2 sur 2
Page 2 sur 2 • 1, 2
Re: info ou intox?
Ce serait une bonne nouvelle je pense, en tout cas j'ai entendu que du positif de ce gardien !
Après j'aurais quand même un petit pincement au coeur pour Favre qui se donne à fond à chacun de ses matches et qui mériterait presque qu'on lui laisse sa chance comme titulaire... Mais est-il capable de réitérer ses bonnes prestations sur toute une saison, telle est la question.
Je sais pas ce que vous en pensez mais perso j'ai du mal à me faire un avis là-dessus je dois dire
Après j'aurais quand même un petit pincement au coeur pour Favre qui se donne à fond à chacun de ses matches et qui mériterait presque qu'on lui laisse sa chance comme titulaire... Mais est-il capable de réitérer ses bonnes prestations sur toute une saison, telle est la question.
Je sais pas ce que vous en pensez mais perso j'ai du mal à me faire un avis là-dessus je dois dire
Fab9- Messages : 729
Date d'inscription : 11/11/2011
Re: info ou intox?
Fab9 a écrit:Ce serait une bonne nouvelle je pense, en tout cas j'ai entendu que du positif de ce gardien !
Après j'aurais quand même un petit pincement au coeur pour Favre qui se donne à fond à chacun de ses matches et qui mériterait presque qu'on lui laisse sa chance comme titulaire... Mais est-il capable de réitérer ses bonnes prestations sur toute une saison, telle est la question.
Je sais pas ce que vous en pensez mais perso j'ai du mal à me faire un avis là-dessus je dois dire
Très simple,tu regardes les reflets de SCB-LHC ( 1-3 ) et tu regardes la performance de Bays et tu as ta réponse. Sans chauvinisme aucun,Bays est vraiment très bon et surtout très régulier et très calme comme gardien.
TORO- Messages : 1489
Date d'inscription : 20/12/2009
Re: info ou intox?
[quote="Fab9"]Ce serait une bonne nouvelle je pense, en tout cas j'ai entendu que du positif de ce gardien !
Après j'aurais quand même un petit pincement au coeur pour Favre qui se donne à fond à chacun de ses matches et qui mériterait presque qu'on lui laisse sa chance comme titulaire... Mais est-il capable de réitérer ses bonnes prestations sur toute une saison, telle est la question.
Je sais pas ce que vous en pensez mais perso j'ai du mal à me faire un avis là-dessus je dois dire :suspect:[/quote]
Bon pour Favre c'est claire vu ces efforts et ces prestations qu'il mériterait une place de titulaire. Après si ce Bays vient en licence B et qu'il est assez fort et confirmé! c'est normal qu'il parte titulaire de plus si je confonds pas avec un autre gardien il a joué aussi avec Servette. Et disons qu'à Lausanne il y a toujours eu de bon gardiens (Huet, Mona et sans oublier Thomas Berger) donc si il vient c'est pour avoir du temps de jeu.
Après j'aurais quand même un petit pincement au coeur pour Favre qui se donne à fond à chacun de ses matches et qui mériterait presque qu'on lui laisse sa chance comme titulaire... Mais est-il capable de réitérer ses bonnes prestations sur toute une saison, telle est la question.
Je sais pas ce que vous en pensez mais perso j'ai du mal à me faire un avis là-dessus je dois dire :suspect:[/quote]
Bon pour Favre c'est claire vu ces efforts et ces prestations qu'il mériterait une place de titulaire. Après si ce Bays vient en licence B et qu'il est assez fort et confirmé! c'est normal qu'il parte titulaire de plus si je confonds pas avec un autre gardien il a joué aussi avec Servette. Et disons qu'à Lausanne il y a toujours eu de bon gardiens (Huet, Mona et sans oublier Thomas Berger) donc si il vient c'est pour avoir du temps de jeu.
le primate- Messages : 1060
Date d'inscription : 20/12/2009
Localisation : Dans l'Ouest
Re: info ou intox?
Hallucinant la performance de Bays ce soir, c'est ou qu'on signe pour l'engager ?
El Kicker- Messages : 223
Date d'inscription : 13/12/2013
Re: info ou intox?
TORO a écrit:Damoclès a écrit:Il grande LHC a écrit:Une bonne nouvelle pour vous:
Bays (gardien No 2 du grand LHC) vous serait prêté en licence B. Et lui, c'est fort, je dirais même très fort.
C'est plus qu'un bruit à Lausanne
Pour fermer la porte ? Sérieusement, je vois mal ce qu'on en ferait...à part en training pour fermer la porte. On a deux gardiens dont en tout cas un n'est pas criardement moins bon. Par contre, si c'est pour palier au départ de Ciaccio l'an prochain, why not.
Crois moi sur parole,si Bays débarque chez vous et qu'il joue à son vrais niveau,ben ciaccio vous n'allez pas le regretter longtemps...
Tu vois dans ta phrase deux choses ne vont pas ensembles "chez vous" et "son vrai niveau"... On se croirait au LHC il y a quelques saisons...
Damoclès- Messages : 496
Date d'inscription : 05/02/2013
Localisation : Grèce Antique
Re: info ou intox?
Damoclès a écrit:TORO a écrit:Damoclès a écrit:Il grande LHC a écrit:Une bonne nouvelle pour vous:
Bays (gardien No 2 du grand LHC) vous serait prêté en licence B. Et lui, c'est fort, je dirais même très fort.
C'est plus qu'un bruit à Lausanne
Pour fermer la porte ? Sérieusement, je vois mal ce qu'on en ferait...à part en training pour fermer la porte. On a deux gardiens dont en tout cas un n'est pas criardement moins bon. Par contre, si c'est pour palier au départ de Ciaccio l'an prochain, why not.
Crois moi sur parole,si Bays débarque chez vous et qu'il joue à son vrais niveau,ben ciaccio vous n'allez pas le regretter longtemps...
Tu vois dans ta phrase deux choses ne vont pas ensembles "chez vous" et "son vrai niveau"... On se croirait au LHC il y a quelques saisons...
On ne se refait pas....vaudois un jour,vaudois toujours.......
TORO- Messages : 1489
Date d'inscription : 20/12/2009
Re: info ou intox?
le primate a écrit:Fab9 a écrit:Ce serait une bonne nouvelle je pense, en tout cas j'ai entendu que du positif de ce gardien !
Après j'aurais quand même un petit pincement au coeur pour Favre qui se donne à fond à chacun de ses matches et qui mériterait presque qu'on lui laisse sa chance comme titulaire... Mais est-il capable de réitérer ses bonnes prestations sur toute une saison, telle est la question.
Je sais pas ce que vous en pensez mais perso j'ai du mal à me faire un avis là-dessus je dois dire
Bon pour Favre c'est claire vu ces efforts et ces prestations qu'il mériterait une place de titulaire. Après si ce Bays vient en licence B et qu'il est assez fort et confirmé! c'est normal qu'il parte titulaire de plus si je confonds pas avec un autre gardien il a joué aussi avec Servette. Et disons qu'à Lausanne il y a toujours eu de bon gardiens (Huet, Mona et sans oublier Thomas Berger) donc si il vient c'est pour avoir du temps de jeu.
Il n'a jamais joué à Genève. Il a été prêté é Sierre la saison passée où il leur a évité de mémorables fessées.
Il grande LHC- Messages : 6
Date d'inscription : 23/01/2014
Localisation : comme tous les génies: au bord du Léman
Re: info ou intox?
Il grande LHC a écrit:le primate a écrit:Fab9 a écrit:Ce serait une bonne nouvelle je pense, en tout cas j'ai entendu que du positif de ce gardien !
Après j'aurais quand même un petit pincement au coeur pour Favre qui se donne à fond à chacun de ses matches et qui mériterait presque qu'on lui laisse sa chance comme titulaire... Mais est-il capable de réitérer ses bonnes prestations sur toute une saison, telle est la question.
Je sais pas ce que vous en pensez mais perso j'ai du mal à me faire un avis là-dessus je dois dire
Bon pour Favre c'est claire vu ces efforts et ces prestations qu'il mériterait une place de titulaire. Après si ce Bays vient en licence B et qu'il est assez fort et confirmé! c'est normal qu'il parte titulaire de plus si je confonds pas avec un autre gardien il a joué aussi avec Servette. Et disons qu'à Lausanne il y a toujours eu de bon gardiens (Huet, Mona et sans oublier Thomas Berger) donc si il vient c'est pour avoir du temps de jeu.
Il n'a jamais joué à Genève. Il a été prêté é Sierre la saison passée où il leur a évité de mémorables fessées.
Ouais,mais pas la faillite........ bon,d'un côté on s'en fout du moment qu'il reste officiellement chez nous,il peut aller jouer tout ce qu'il veut chez les petites abeilles. Maintenant,il est et j'espère qu'il reste à nous,moi il m'épate ce petit jeune. Un peu comme quand j'ai rencontré Raton pour la première fois,j'étais vraiment épaté,je ne le voyais pas aussi ridé...... mais bon,au moins il a le sens de l'humour et l'odeur qui va avec....
TORO- Messages : 1489
Date d'inscription : 20/12/2009
Re: info ou intox?
[quote="le primate"]Il a qu'a partir des gardien en Suisse il en bien assez et Favre peut assumer le job. Mais ce que je comprends pas pourquoi langnau s'interesse à lui ou alors il cherche quelqu'un pour fermer la porte mais là sa veut dire qu'ils connaissent pas la valeur de l'argent surtout qu'a mon avis Lorenzo Croce est meillieur que Ciaccio[/quote]
Se soir il à été vraiment mauvais 2 but sur sa confience quand on fait une performence comme se si il y a qu'un :
,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,
Se soir il à été vraiment mauvais 2 but sur sa confience quand on fait une performence comme se si il y a qu'un :
,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,Dehors,
le primate- Messages : 1060
Date d'inscription : 20/12/2009
Localisation : Dans l'Ouest
Re: info ou intox?
Ce Bays est un très très bon jeune gardien. Il m'a impressionné lors du match face à Berne. S'il vient chez nous (HCC) la saison prochaine ca peut faire mal. Et si on peut le leur chiper définitivement c'est encore mieux. A quoi bon bon avoir un gardien si fort qui ne joue jamais après tout
El Kicker- Messages : 223
Date d'inscription : 13/12/2013
Re: info ou intox?
Bays serait un bon coup, surtout vu notre situation et notre manque d'ambition à long terme: autant avoir un bon prêt pas trop cher pour un an.
Lausanne aura encore Huet un an, Bays pourra se faire une saison titulaire en LNB avant de rejoindre le LHC en tant que n°1, c'est un win/win parfait.
Lausanne aura encore Huet un an, Bays pourra se faire une saison titulaire en LNB avant de rejoindre le LHC en tant que n°1, c'est un win/win parfait.
mondoudou- Messages : 179
Date d'inscription : 14/12/2013
Page 2 sur 2 • 1, 2
Page 2 sur 2
Permission de ce forum:
Vous ne pouvez pas répondre aux sujets dans ce forum
|
|